A la fin tu es las de ce monde ancien
Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Au dessus de l'île, on voit des oiseaux. Tout autour de l'île, il y a de l'eau.
C'est un trou de verdure où chante une rivière, accrochant follement aux herbes des haillons d'argent ; où le soleil, de la montagne fière, luit.
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, je partirai
Non les braves gens n'aiment pas que, l'on suive une autre route qu'eux
Souvent pour s'amuser, les hommes d'équipage, prennent des albatros, vastes oiseaux des mers
Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force Ni sa faiblesse ni son coeur
Ô temps suspends ton vol
Vivez si m'en croyez, n'attendez à demain
Sous le pont Mirabeau coule la Seine, et nos amours
Quand nous en serons au temps des cerises, Et gai rossignol et merle moqueur
Seront tous en fête.
Et l'orage éclata
En même temps que le morceau de chair
Qui me servait de coeur
Dis, quand reviendras-tu ? Dis, au moins le sais-tu ? Que tout le temps qui passe, ne se rattrape guère, que tout le temps perdu, ne se rattrape plus
Ce n'est rien, tu sais bien que le temps passe, ce n'est rien
Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Au dessus de l'île, on voit des oiseaux. Tout autour de l'île, il y a de l'eau.
C'est un trou de verdure où chante une rivière, accrochant follement aux herbes des haillons d'argent ; où le soleil, de la montagne fière, luit.
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, je partirai
Non les braves gens n'aiment pas que, l'on suive une autre route qu'eux
Souvent pour s'amuser, les hommes d'équipage, prennent des albatros, vastes oiseaux des mers
Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force Ni sa faiblesse ni son coeur
Ô temps suspends ton vol
Vivez si m'en croyez, n'attendez à demain
Sous le pont Mirabeau coule la Seine, et nos amours
Un cygne avance sur l’eau,
Tout entouré de lui-même,
Comme un glissant tableau ;
Ainsi à certains instants
Un être que l’on aime
Est tout un espace mouvant.
Quand nous en serons au temps des cerises, Et gai rossignol et merle moqueur
Seront tous en fête.
Et l'orage éclata
En même temps que le morceau de chair
Qui me servait de coeur
Dis, quand reviendras-tu ? Dis, au moins le sais-tu ? Que tout le temps qui passe, ne se rattrape guère, que tout le temps perdu, ne se rattrape plus
Ce n'est rien, tu sais bien que le temps passe, ce n'est rien
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire